lundi 4 octobre 2010

"SANTIAGO (Thursday, 30/09).

"SANTIAGO (Thursday, 30/09).

Beautiful weather all day after the lousy forecast. Pilgrim rested and well.---

Awake at 6 am, but dropped off again till 8 am. The luxury of getting up (relatively) late! Breakfast in my room - leftovers of previous picnics! Out at 9 am to go to the tourist office to find out about busses etc back from Finisterre and to Santander where I want to take the ferry to Plymouth and then to Roscoff. However nothing is open until 10 am. So I went to visit the cathedral - the Puerta Santa is open only during Holy Years - this is a holy year when the Saint's day (25th July) is on a sunday. Bought a guided tour with a recording telling you about the things worth seeing in the cathedral, but there was so much bla and music I had not asked for, rather than the basic information that I gave back the thing. Went to see the golden sculpture of St James and touched the shell on its back, but did not embrasse it as did the man who was behind me in the queue. Then down to the shrine where I expected to be able to light a candle or two, but instead there was a series of candles with a sign - Send an SMS - did not understand why or where to - to God directly or to St James. There was nobody to ask, so I went on.

Back into the main part of the cathedral and found an altar with the statue of St James on horseback and plenty of (electric) candles to light. No idea how much per candle - so I put in 1€ and oh, surprise! four candles lit up. Then I put in 2€ in the neighbouring box with fatter candles and they were red into the bargain and again oh, surprise! four candles lit up!

A good part of the inside of the cathedral was covered in scaffolding which did not help when there was such a crowd for the pilgrims' mass at 12 midday. I went three quarters of an hour before the start and found people seated everywhere - when all the seats where taken, they were sitting on the protruding corners of the bases of the columns. Since all those corners were occupied, I sat down on the floor with my back next to a column. And then I noticed the confessional which had a nicely upholstered step going all round it to kneel on during confession - and I got up and sat on one side in relative comfort. And once I had started soon many more people sat there. It certainly was comfortable, upholstered as it was, but gradually I started to freeze - too close to the stone floor!

Mass was shown on a tv screen on a column - however with all the scafolding in the cathedral you had a lot of scafolding on the tv screen too and could not really see anything. Except the incense burner - don't know what that is called in English or French. Now that was incredably impressive - I would not have believed it! It went almost up to the ceiling - if ever there is an accident and that thing falls off into the crowd....

Got my information from the tourist office, bought postcards and stamps, found a bookshop which sold a topographic map indicating the different caminos, had a bite to eat on a bench - oh, and there was a cry suddenly: Ina! Pepe and Aitana! How are you? and Nice to see you again! - Finally I went home ie. to my hotel to have a sieste. Met Silke and Sebastian who told me that they too were now in my hotel.

At 4 pm was the opening of an exhibition: Compostelle and Europe - L'histoire de Diego Gelmirez. This exhibition has been shown in several cities - Paris and London, I think, and possibly New York - anyway I had read about it before.
While waiting for it to open I sat on a wall in the sunshine and sent my blog contributions - very pleasant past time!

Went back to the restaurant/ bar, where no tourists went, the owners, an elderly couple, were playing cards with two customers. So I had a bite to eat while I wrote my post cards, put them into the post, went back to my hotel, paid my bill, packed my luggage and went to bed and sleep."



Beau temps toute la journée après toute cette mauvaise météo. Pèlerin reposée et en forme.

Réveillée à 06 heures mais repartie sommeiller jusqu’à 8 heures.C’est un luxe de se lever (relativement) tard. Petit déjeuner dans ma chambre avec les restes de pique niques précédents. Sortie à 9 heures pour aller à l’office du tourisme afin de me renseigner sur les bus qui me ramèneront du Cap Finisterre à Santiago, puis à Santander d’où je prendrai le ferry pour Plymouh et ensuite pour Roscoff. Mais rien n’est ouvert avant 10 heures ! J’ai donc visité la cathédrale ; la porte sainte n’est ouverte que pendant les années saintes. Je suis allée voir la statue, dorée et sculptée, de Saint Jacques et ai touché son dos avec ma coquille mais je ne l’ai pas embrassé comme l’a fait l’homme qui attendait derrière moi. Puis retour à l’autel où j’ espérai allumer un cierge ou deux mais il n’y  avait qu’une série de cierges avec un panneau “envoyez un SMS” je n’ai pas compris pourquoi ni pour qui (Dieu directement ou St Jacques ! ) mais comme il n’y avait personne je n’ai pas pu me renseigner et je suis partie !!!
Retour dans la partie principale de la cathédrale où j’ai trouvé une statue de Saint Jacques à cheval et un autel avec la possibilité d’allumer des cierges ...électriques. Pas de prix indiqué, j’ai donc mis 1€ et oh surprise, voila quatre bougies qui s’allument (ici c’est même pas le prix d’une - papy vélo !) Alors j’ai mis 2€ dans l’autre boite prévue pour les cierges plus gros, ils étaient de couleur rouge à l’ intérieur et, c’est une bonne affaire (!) 4 bougies se sont allumées !
Une grande partie de la cathédrale était recouverte d’ échafaudages ce qui n’est pas pratique quand il y a une telle foule de pèlerins à la messe de midi. J’y suis allée3/4  d’heure avant l’office et ai trouvé des personnes assises partout - tous les sièges étaient occupés - les gens étaient assis sur les bases des colonnes qui faisaient saillie. Comme tous ces coins étaient occupés, je me suis assise au sol avec le dos appuyé contre une colonne. Là, j’ai remarqué le confessionnal qui disposait d’une belle marche rembourrée et faite pour s’agenouiller pendant la confession. Je m’y suis assise dans un confort relatif. Et comme je venais de le faire, beaucoup de gens m’ont imité. C’était certainement très confortable, tellement c’était rembourré, mais je commençais à avoir froid car c’était trop près des dalles qui formaient le sol.
La messe était retransmise sur un écran TV  disposé sur une colonne, mais avec tous ces échafaudages dans la cathédrale, il y en avait aussi sur l’écran (!) et on ne voyait pas grand chose. A part l’encensoir. Là, c’était impressionnant, j’aurai eu du mal à la croire si je ne l’avais pas vu. Il monte jusqu’au plafond, qu’arriverait il s’il tombait dans la foule ?
Voir absolument la vidéo (papy vélo)
http://www.google.fr/imgres?imgurl=http://www.compostelle.didier74.com/resources/_wsb_279x438_botafumeiro.jpg&imgrefurl=http://www.compostelle.didier74.com/4.html&usg=__CfIjp_HZS1EsvSyLhkzMNL_KwjU=&h=438&w=279&sz=84&hl=fr&start=13&sig2=7JxTP0LInno3gl_ZV5CX9g&zoom=1&um=1&itbs=1&tbnid=cdXgNelbbZEUKM:&tbnh=127&tbnw=81&prev=/images%3Fq%3Dsantiago%2Bencensoir%26um%3D1%26hl%3Dfr%26sa%3DN%26rlz%3D1B3GGLL_frFR387FR388%26tbs%3Disch:1&ei=XumpTMrEGsmKswaa3eTADA

J’ai obtenu les informations désirées à l’office de tourisme, ai acheté des cartes et des timbres, ai trouvé un libraire qui vendait une carte topographique avec le tracé des différents caminos, ai mangé un peu sur un banc et ai entendu un cri : Ina !  C’était Pepe et Aitana. Heureux de vous revoir !  Puis je suis rentrée à la maison (mon hôtel) pour faire ma sieste. Ai rencontré Silke et Sebastian qui m’annoncèrent que nous étions dans le même hôtel.
A 16 heures s’ouvrait l’exposition Compostelle et l’Europe, l’histoire de Diego Gelmirez
http://fr.wikipedia.org/wiki/Diego_Gelm%C3%ADrez
Cette exposition avait été présentée dans de nombreuses villes : Paris, Londres et je crois à New York. Quoi qu’il en soit j’en avais entendu parler avant.
Pendant que j’attendais l’ouverture, je me suis assise sur un muret au soleil et ai préparé mes contributions pour le blog : passe temps très agréable.
Puis retour au restaurant/bar, un endroit où ne vont pas les touristes. Les propriétaires, un couple âgé, jouaient aux cartes avec deux clients. J’ai mangé un peu, écrit mes cartes, les ai postées et suis revenue à mon hôtel, j’ai payé ma note, fait mon sac et dodo...



















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