samedi 25 septembre 2010

"Etappe 36: Vilanova de Lourenza - Gotan (Thursday,



Up earlyish, someone's alarm had gone off, coffee in bed and out to have my breakfast in peace - when I made my coffee I brought my breakfast things down and put them at one end of the very long table - only to find someone's socks and underwear lying on the table next to my food - not very appetizing! And then, it was still dark, a face appeared at the window - 'Which way is the camino?' That was Chris, an American, who had come from the previous albergue by the light of the full moon. All this I found out when I met him again at my next albergue in Gontan.

The day was beautifully sunny - the usual ups and downs on the roads and paths, in the forests, phantastic views over the valleys until fairly late a very difficult stretch uphill quite steeply and no end in sight - oh, oh!

By the way since Ribadeo we are in Galicia and the shells indicating our way point the other way round. And underneath the shell you find indicated the remaining kilometers (and meters) to Santiago! I do not know whether that comes out on the photograph.

And finally there was the albergue in a little village which pretended to be a town, to go by the apartment blocks which had gone up in recent years. As usual all 32 of us were in one room, but there were wooden partitions, such that at least every bed was against a 'wall' - so everyone had a bit of privacy. No major snorers amongst us - I have not suffered from that, luckily! Did not use my ear plugs ever!

Out for a beer or two and a look at the guidebook - I am so close to Santiago now and beginning to feel peculiar - should be there next Thursday! Then a few more days to the Cap Finisterre - that is considered to be a fairly difficult stretch - and a few more days and I'll be back home!"

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Debout très tôt, un réveil s’est manifesté ! Café au lit et debout pour prendre le petit déjeuner en paix, quand je prépare mon café, je prend le nécessaire à petit déjeuner et le dépose au bout d’une longue table - et là, je retrouve des chaussettes et des sous vêtements sur la table près de ma nourriture - pas très appétissant ! Et alors qu' il faisait encore nuit, un visage se montre à la fenêtre : “c’est vers où le camino ? c’était Chris, un américain qui arrivait de l’auberge précédente à la lueur de la lune. Je l’ai rencontré de nouveau à l’auberge de Gotan en soirée.
Le ciel était merveilleusement ensoleillé, les chemins habituels qui montent et qui descendent, dans les forets, des vues magnifiques sur les vallées jusqu’à vers la fin où un tronçon grimpe à pic et sans fin ! Oh, Oh !
Je suis en Galice depuis Ribadeo et les coquilles indicatrices sont renseignées à l’inverse :sous la coquille on trouve le nombre de kilomètres et de mètres restants jusqu’à Santiago, je ne sais pas si cela se voit bien sur la photo.
Et enfin, voila l’auberge dans un petit village qui se prend pour une ville si j’en crois les lotissements qui ont poussé dans les dernières années ! Comme d’habitude, nous étions 32 dans une chambre, mais il y avait des séparations en bois, si bien que chaque lit semblait être contre un mur. Chacun avait un peu d’intimité. Pas trop de ronfleurs, je n’ai pas vraiment souffert de ce problème, heureusement. Je n’ai pas non plus utilisé mes bouchons d’oreilles.
Une petite sortie pour une bière ou deux, un coup d’ œil au guide - je suis si prêt de Santiago, je devrai y être jeudi. Puis quelques jours de plus vers le cap Finisterre, c’est un tronçon difficile, et encore quelques jours et je serai à la maison !!




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