mardi 28 septembre 2010

"Etappe 38: Vilalba - Baamonde (Saturday, 25/09).

"Etappe 38: Vilalba - Baamonde (Saturday, 25/09).

Sky cloudy, occasionally a bit of drizzle. Pilgrim in very good shape.---

Up too early, carried on the wave of people getting up ridiculously early - found myself ready to go, dressed and fed, and it was still dark outside! And I had to wait!

Made my way into and through the town of Vilalba and came across a 'drain trap' shaped as a shell. The thing was not very clean and it was still fairly dark so the photo is not very good, but maybe it conveys an idea. I took the photo anyway just in case I did not see another which indeed I did not, so I was very pleased with myself and with my find!

Soon it started drizzling - got out the supermarket bag I use to protect my bumbag around my waist, opened the umbrella for a while, but then the sun came out for most of the day - the camino lead through many meadows lined with brambles still full of blackberries. Since the etappe was not particularly long and the albergue at Baamonde has many beds I dawdled a lot picking blackberries and enjoying being in the sun. Since the rain this morning it has turned quite cold and I no longer try to escape from the sun.

Drizzle again as I was overtaking a group of seven Italians with their guide - expected to see them in the albergue, but no - neither the two French women, Yannik and Martine(see photo), with whom I had been walking on and off - so either they stayed in the hotel or took the bus over the next etappe

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Ciel nuageux, parfois un peu de bruine, pèlerin en excellente forme !

Debout bien trop tôt, j’ai été portée par la vague des gens qui se lèvent ridiculement tôt et me suis trouvée prête, habillée et le ventre plein alors qu'il ...  faisait encore nuit dehors ! J’ai donc été obligée d’attendre !
J’ai tracé mon chemin dans et à travers la ville de Vilalba et j’ai découvert une bouche d’égout qui avait la forme d’une coquille saint Jacques. Elle n’était pas très propre et comme il faisait encore sombre, la photo n’est pas très bonne.mais c’est peut être une idée à retenir. J’ai quand même pris la photo au cas où je n’en verrai pas d’autre, ce qui est arrivé ; j’étais donc très contente de moi et de mon idée.
Il commença à bruiner, j’ai sorti de sac fourni dans un supermarché et je l’utilise pour protéger mon sac banane
, j’ai ouvert mon parapluie pendant un moment mais le soleil a refait une apparition qui a duré la plus grande partie de la journée. Le camino m’a conduit à travers de nombreuses prairies avec tout le long, des ronciers encore pleins de mures. Comme l’étape n’était pas particulièrement longue et que l’auberge de Baamonde disposait de nombreux lits, j’ai trainassé pas mal en cueillant des mures, toute contente de profiter du soleil. Depuis la pluie matinale, le temps est devenu frais et je n’essaye plus d’ échapper au soleil.
De la bruine à nouveau alors que je dépassais un groupe de sept italiens accompagnés de leur guide, j’avais espéré les retrouver à l’auberge, mais je n’ai vu ni eux, ni les deux françaises Yannik et Martine (voir photo) - avec lesquelles j’ai marché de temps à autres - Ciel nuageux, parfois un peu de bruine, pèlerin en excellente forme !

Debout bien trop t^to, j’ai été portée par la vague des gens qui se lèvent ridiculement tôt et me suis trouvée prêté, habillée et le ventre plein et ... il faisait encore nuit dehors ! J’ai donc été obligée d’attendre !
J’ai tracé mon chemin dans et à travers la ville de Vilalba et j’ai découvert une bouche d’égout qui avait la forme d’une coquille saint Jacques. Elle n’était pas très propre et comme il faisait encore sombre, la photo n’est pas très bonne.mais c’est peut être une idée à retenir. J’ai quand même pris la photo au cas où je n’en verrai pas d’autre, ce qui est arrivé ; j’étais donc très contente de moi et de mon idée.
Il commença à bruiner, j’ai sorti de sac fourni dans un supermarché et je l’utilise pour protéger mon sac banane
, j’ai ouvert mon parapluie pendant un moment mais le soleil a refait une apparition qui a duré la plus grande partie de la journée. Le camino m’a conduit à travers de nombreuses prairies avec tout le long, des ronciers encore pleins de mures. Comme l’étape n’était pas particulièrement longue et que l’auberge de Baamonde disposait de nombreux lits, j’ai trainassé pas mal en cueillant des mures, toute contente de profiter du soleil. Depuis la pluie matinale, le temps est devenu frais et je n’essaye plus d’ échapper au soleil.
De la bruine à nouveau alors que je dépassais un groupe de sept italiens accompagnés de leur guide, j’avais espéré les retrouver à l’auberge, mais je n’ai vu ni eux, ni les deux françaises Yannik et Martine (voir photo) - avec lesquelles j’ai marché de temps à autres - Soit elles étaient installées dans un hôtel ou alors avaient pris le bus jusqu’à l’autre étape.






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