mercredi 10 juin 2015

Day 9 mardi 9 juin 2015

Day 9     09 June 2015


Rionegro del Puente  - Asturianos


26 km     5.5 h plus 1 stop of 1 h


Up and out at 6:15 am. Enjoyed the fresh morning as long as it lasted
and then it did last because the sun never did come through properly. The landscape was the grassland of the last few days; the paths or tracks varied a lot. Above all there was much more variation in height - long or short hauls up - down as well, but I do not remember them particularly, since for me the ups are much more difficult than the downs, I notice them much more....... for instance one unterminable(?) up where half way up there was one of those stone markers which have just the right height to sit on, but which too often are placed at the other side of a ditch. This one was not and I sat, bent over slightly to balance the pack on my back - no question taking it off - too hard putting it on again - and looking down and seeing the beauty of the flowers and the grass....


Went to sleep over this last night. Now it is 6 o'clock in the morning on the 10th and I am listening to the occasional thunder overhead and the steady beat of the rain - oh dear - now it is coming down in buckets!  Well, since we will not be suffering from the heat today I am delaying my departure.....


To come back to last night - I had been writing my blog contribution for a long time rambling on as usual, when someone came in and started talking to me. I put the phone down on the table and left it there during my discussion. When I came back to my phone it had switched itself off - normal! But when I switched it back on, my text had disappeared - NOT normal!!! Not to be found anywhere! Not in Drafts, not in Junk Mail, not in Sent, not any of the other folders which I don't know the name of because I never have any dealings with them!


If you know how labourious it is to type on a phone, especially mine which is an "old" Yxperia", small enough to be carried in my trouser pocket - if you know the number of times the wrong letter comes up when surely you tapped the right key and you notice it several words later and have to go back to correct it - if you follow me at all, you can see the level of my disgust when my text would not come back!


So I had my meal with several glasses of wine - who could doubt that! - and retired to bed where I had another go at the blog, see above.


The albergue is very small, attached to a sports complex outside this village with an amazingly good bar which provides meals as well. Considering there are only 6 beds they certainly cannot make a living from the pilgrims. The pilgrims this time, apart from myself, are the two Spaniards, Carmelina and Malu, Manuel, and Heiner, the big German.


Meanwhile everybody is up - the thunder is still rumbling in the distance and the rain has stopped - until when???

PS to Day 9

As I was having my beer and waiting for my bocadillo in the first bar in Asturianos there appeared Juergen, the New Zealander and the Dutch Gilbert and the Italian Giuseppe. But they were just going to pause and then push on to Puebla de Sanabria - so it is unlikly that I will come across them again. But then, on the camino, you never know! When I came out of the bar I ran into Mariana whose priority had not been the bar, but the "Farmacia" - she was carrying a plastic bag full of things





(Mardi) Debout et dehors à 06h15. j'ai apprécié la matinée fraîche aussi longtemps que cela a duré et cela a duré parce que le soleil n'a jamais percé les nuages comme il aurait du !. Le paysage était toujours composé de prairies comme les derniers jours; les chemins ou pistes variaient beaucoup. Surtout il y avait beaucoup plus de variation d'altitude, des tronçons longs ou courts qui montent et qui descendent, je ne m'en souviens pas bien si ce n'est que pour moi, les montées sont plus difficiles que les descentes. Je les remarque beaucoup plus .... ... par exemple, une interminable montée où, à mi-chemin, il y avait une des ces pierres avec l'indication du chemin, elle était de hauteur suffisante pour que je me mette assise dessus mais, trop souvent elles sont placées de l'autre coté du fossé.. Celle -ci ne l'étais pas et je me suis assise, me penchant légèrement  pour équilibrer le sac sur mon dos - pas question de l'enlever - trop dur de le mettre à nouveau - et ce faisant je regardais vers le bas pour voir la beauté des fleurs et des pâturages ....


Je suis allée dormir hier au soir . Il est 6 heures du matin maintenant (mercredi) et j'écoute l'orage qui gronde et  le battement régulier de la pluie ;   maintenant il pleut à verse ! Eh bien, puisque aujourd'hui nous ne souffrirons pas de la chaleur, je vais décaler mon départ.


Pour en revenir à hier au soir, j'avais écris mon blog, radotant  comme d'habitude, quand quelqu'un est venu et a commencé à me parler. Je mets le téléphone sur la table et l'ai laissé là pendant ma conversation. Quand je suis revenu à mon téléphone, il s'était déconnecté, c'est normal!  Mais quand je l'ai rallumé, mon texte avait disparu : pas normal !!!
Impossible de le trouver, même pas dans les brouillons ni dans le courrier indésirable,ni dans le dossier envoyé. Nulle part !!!


J'imagine que vous savez comment c'est laborieux il est de rédiger sur un téléphone, surtout le mien, qui est un "ancien" Yxperia ", assez petit pour être transporté dans la poche de mon pantalon - si vous savez le nombre de fois que la mauvaise lettre vient quand , en confiance, vous avez tapé la bonne touche du clavier et vous remarquez plusieurs mots plus tard que vous devez revenir en arrière pour faire une correction , vous imaginez sans peine ma déception quand je n'ai pas retrouvé mon texte.


Donc j'ai pris mon repas avec plusieurs verres de vin - qui pourrait en  douter ! - Et retour au lit pour me remettre à nouveau sur le blog.


L'auberge est très petite, attaché à un complexe sportif à  l'extérieur de ce village avec, s'est surprenant, un bon bar qui fournit aussi les repas . Considérant qu'il n'y a que 6 lits, ils ne peuvent certainement pas vivre grâce au séjour des pèlerins.

Les pèlerins, cette fois, en dehors de moi-même, sont les deux Espagnols, Carmelina et Malu, Manuel, et Heiner, le grand allemand.

Pendant ce temps tout le monde est debout- le tonnerre gronde encore au loin et la pluie a cessé - jusqu'à quand ?


PS à la Journée 9
Comme je buvais ma bière et que j'attendais mon bocadillo dans le premier bar à Asturianos, Juergen est arrivé ; puis le Néo-Zélandais et les Néerlandais Gilbert et l'Italien Giuseppe. Mais ils allaient juste faire une pause et puis poussez à Puebla de Sanabria - il est donc peu probable que je les croiserai de nouveau. Mais , sur le camino, vous ne savez jamais ce qui peut arriver! Quand je suis sortie du bar suis tombée sur Mariana dont la priorité n'a pas été le bar, mais le "Farmacia" - Elle portait un sac en plastique plein de choses..


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