Day 1 Granja de Moreruela -
Benavente Saturday, 11/06/2016
26 km, mostly flat except
coming into villages or finally Benavente – they all seem to be built on the
rare hills in the vastness of the flat
Sunny all day
Coming out of Granja I got
lost immediately because no arrow was to be seen after the split where Santiago
is indicated due west and Astorga due north. Found the way out of town and then it was straight tracks mostly in
parallel, but a good distance to, the N 630, so that you could comfortably
ignore it. At one point I came to a
power line with a series of pylons on each of which a stork family had settled
– as far as you could see the pylons in the distance you could make out the
nests. Not so easy to see on the photograph.
Since this was my first day of
walking I had decided on a short stage, only 16.5 km to Barcial del Barco,
where there was an albergue. I came close to the village just before midday and
there was a beautiful patch of shade on the track just right for a picnic and a
siesta, so I had both and at about 2
o’clock found myself in front of the albergue. It was not open; I would have had to telephone to have it opened,
so I went to look for a bar first. The bar was open, but nobody was about, no
customer, no landlord. Even shouting did not produce anybody. I later heard
that this bar also doubled as an albergue! Well!
So I continued walking. By
then I had decided that it was too early to halt for the day and as there was
another bar just at the edge of the village I stopped for a coffee rather than
a beer and went on my way. Very soon I had the option – not official – to go on
the disused train track which would be a short cut rather than to follow the
yellow arrows to Benavente. I had been warned that the train track was
overgrown in places, but not in the beginning when you come to it. However the
rails had been removed and the sleepers as well; just the loose stones were
left – impossible to walk on, for me anyway! So I followed the arrows,
eventually leading on to a very long motorway bridge over the river Esla, down
the embankment the other side and a long way back to go under the motorway on
the road to Benavente.
A long way through the
industrial outskirts into the town centre up on the hill. Half way up into a
bar for a beer – by then I was beginning to feel the heat and the length of the stage. “The albergue? You go either up over the top and down the other side to
the old railway station where you find the albergue or you stay on this level
and go round the hill which however is considerably longer.” Refreshed by my
beer I went over the top, steeply up and steeply down. The railway line runs
along the river and the whole station area has been turned into a park, nicely
green and cool and fresh.
However when I got to the
entrance door there was a sign saying: “The keys to the albergue can be had in
the Tourist Office which is open until 20:30h.”
This was only 18h. So I went back, steeply up to the town centre. There
was a fête going on with stalls all over the main square, lots of people about,
music, food. And when at last I arrived at the tourist office, I was heartily
tired of going anywhere. And instead of asking for the keys to the albergue I
asked for a hotel in the centre. Got one, settled in, had some tapas in their
restaurant and off to bed and to sleep!
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Jour
1 Granja de Moreruela -
Benavente Samedi 11/06/2016
26
km, plat pour la plus part du temps, excepté les arrivées dans les villages et
à la fin à Benavente car tous semblent construits sur les rares collines de
cette immensité de platitude.
Soleil toute la journée.
Je me
suis perdue de suite en sortant de Granja à cause de l’absence de flèches; il
en avait seulement après le croisement où Santiago était indiqué en direction
de l’ouest et Astorga vers le nord. J’ai retrouvé mon chemin en dehors de la
ville et cela a été une piste toute droite, là plus part du temps en parallèle
mais à bonne distance de la RN 630. On pouvait sans problème ignorer sa
présence.
A un endroit, j’ai marché près d’une ligne à haute tension avec une série de pylônes set sur chaque pylône il y avait une famille de cigognes qui avait pris ses quartiers. Cela ne rend pas bien sur les photos.
Comme c’était mon premier jour de marche, j’avais décidé de faire une étape courte, seulement 16.5 km jusqu’à Barcial del Barco où il y avait une auberge. Je suis arrivée près du village juste avant midi et comme il y avait un beau coin ombragé sur la piste, c’était parfait pour faire un pique nique et une sieste. J’ai fait les deux et je me suis présentée devant l’auberge vers 14 heures. C’était fermé, j’aurais du téléphoner pour la faire ouvrir, donc j’ai décidé d’abord de partir à la recherche d’un bar. Le bar était ouvert, mais il n’y avait personne, ni client ni patron ! Même mes appels ne sont pas arrivés à faire venir quelqu’un. J’ai su plus tard que ce bar faisait aussi auberge. Bien !
J’ai donc continué à marcher car j’avais décidé qu’il était trop tôt pour s'arrêter et j’ai trouvé un autre bar juste à la sortie du village, je m’y suis arrêtée pour prendre un café plus tôt qu’une bière et ai poursuivi mon chemin.
Peu de temps après j’avais deux options : prendre l’ancienne voie de chemin de fer ce qui raccourcirait le parcours ou suivre les flèches jaunes jusqu’à Benavente. On m’avait dit que la voie de chemin de fer était envahie de mauvaises herbes à certains endroits mais pas à son début. Cependant les rails et les traverses avaient été enlevées et il ne restait que le ballast - impossible pour moi de marcher là dessus.
J’ai donc suivi les flèches qui m’ont amenée vers un très long pont pour voitures au dessus de la rivière Esla, vers la berge de l’autre coté et j’ai du faire un long détour pour passer sous l’autoroute sur la route qui menait à Benavente.
Un long périple dans la banlieue industrielle pour arriver au centre ville situé au sommet d’une colline. A mi chemin, pause dans un bar pour une bière - à ce moment j’ai commencé à ressentir la chaleur et la longueur de l’étape. "L’auberge ? Deux possibilités, soit vous montez au sommet de la colline et redescendez jusqu’à l’ancienne gare où vous trouverez l’auberge, soit vous restez à ce niveau et faites le tour de la colline ce qui rallonge beaucoup !" Rafraîchie par ma bière, j’ai monté la pente raide vers le sommet et ai pris la descente raide également . La voie de chemin de fer longeait la rivière et toute la zone de la gare avait été transformée en parc, bien vert et bien frais.
Cependant en arrivant devant l’auberge il y avait un panneau indiquant que les clés étaient disponibles à l’office de tourisme qui était ouvert jusqu’à 20:30h. Il était 18 heures.. Je suis donc remontée (pente dure) vers le centre ville. Il y avait une fête avec des étalages sur la place principale, plein de gens, de la musique et de quoi manger. Et quand, enfin, je suis arrivée à l’office de tourisme, j’étais si fatiguée que je n’ai pas demandé les clés de l’auberge mais l’adresse d’un hôtel au centre ville. J’en ai eu un, me suis installée, ai pris quelques tapas dans leur restaurant et au lit pour dormir !!
Flat! - Plat! |
Storks nest on each pylon - Nids de cigogne |
not so flat - pas si plat |
straight track - piste rectiligne |
Picnic coming into Barcial del Barco (see church in the background) |
Octagonal steeple of the church of Barcial del Barco |
I forgot to mention Dona Maria-Isabel. There were three men working in a small field, one with a tractor and two were hewing away. And this little woman was arriving to bring them their lunch. In the garden next to this field was a building which looked like a chapel to me; so I asked the woman - no, not a chapel, but dovecote(?). Here is the ruin of another one where you can see the holes which were made for nesting. This was Dona Maria-Isabel, 77 years old. I would not have thought so......
End of PS
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PS au jour 1
J’ai oublié de mentionner Dona Maria-Isabel. Il y avait trois hommes qui travaillaient sur une petite parcelle, l’un avec un tracteur et deux qui élaguaient. Alors cette petite bonne femme est arrivée leur porter le repas. Dans le jardin contigu à la parcelle il y avait un bâtiment qui me semblait être une chapelle ; j’ai demandé à la femme ce que c’était : ce n’est pas une chapelle, c’est un colombier . Voici les ruines d’un autre où vous pouvez voir les alvéoles faites pour la nidification. Cette personne s’appelle Dona Maria-Isabel , elle a 77 ans, je la croyais plus jeune.
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