Day 4 La
Baneza - Astorga Tuesday, 14/06/2016
20km mostly
flat
Sunny to begin with, then cloudy and quite cool all
day
Was woken up at 5:30h by Paco's alarm clock. After he
had gone I got up, had breakfast, tried to make coffee with my father's little
immersion heater and found that it did not work, neither in the kitchen nor in
the dining room. No real problem since there was a microwave.
Out just after 7 am into a beautifully sunny and fresh
morning. Coming out of the town the yellow arrows soon took me to a lovely
track, not too straight, through shrubs and small trees.
After two hours' walk I decided to have a pause and
try my connections again. Since I did not want to talk to anybody who might show up
after me I crawled into the bushes where I could see who was coming, but was
not likely to be seen from the path.
After a while Deirde and Pascal passed, but Rahel who
walks at a good pace did not.
Connection failed and I continued on my way. Saw Deirdre and Pascal in the distance and
later discovered that they were continuing straight on where an arrow was
sending us off to the right.
However when some time later I emerged from my lunchtime pause there
they were sitting on a bench. Thus we met and lost each other several times.
And in the end I came across Rahel or rather her pack was sitting outside a bar
- so we had a drink and continued the last three kilometres to Astorga
together. Quite an adventure for we had to go through a farm with three
furiously barking dogs, one of whom was a very big specimen. I am not normally
frightened of dogs, but Rahel very much so. The Franco-Canadians never came
this way, but followed the main road.
In Astorga we found my hotel immediately, but decided
to have a last drink together on the square next the Gaudi-building and the
cathedral. And who would come past just then? Paco, the little Spaniard we had
met in La Baneza! And a little while later Deirdre and Pascal!
It started to rain, so I opened my magic umbrella to
give us cover while Rahel finished her cigarette. She makes them herself -
stuffs them very carefully, quite fascinating to watch!
This was her last day on the camino. So we said
goodbye and I went to my luxury accommodation and had something to eat out of
my pack - not luxurious at all.
La Beneza: the house covered in shells - la maison couverte de coquillages
A flower in the middle of the track - une fleur au milieu du chemin |
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La connexion a échoué et j’ai continué mon chemin. Je voyais Deidre et Pascal au loin et j’ai remarqué plus tard qu’ils avaient continué tout droit là où la flèche indiquait de tourner à droite...
Puis j’ai retrouvé par hasard Rahel ou plus précisément son sac-à-dos contre le mur d’un bar. On a donc pris une boisson ensemble et fait ensemble les trois derniers km vers Astorga.
Avons eu une aventure quand nous avons du traverser un ferme habitée par trois chiens qui aboyaient et dont l’un d’eux était un gros spécimen! Je n’ai généralement pas peur des chiens mais Rahel si! Les Franco-canadiens n’ont pas pris cet itinéraire mais sont passés par la route principale.
Jour 4 La Baneza - Astorga Mardi 14/06/20016
20km - plat la plus part du temps
Ensoleillée dabord, nuageux et frais le reste de la journée
20km - plat la plus part du temps
Ensoleillée dabord, nuageux et frais le reste de la journée
J’ai été réveillée à 05:30h par l’alarme du réveil de
Paco. Je me suis levée après son départ, ai pris mon petit déjeuner, ai tenté
de me faire un café à l’aide de la résistance immergeable qui avait appartenu à
mon père et me suis rendue compte qu’elle ne fonctionnait plus, ni dans la
cuisine ni dans la salle à manger. Cela n’a pas été un gros souci car il y
avait un micro ondes.
Me voila dehors juste après 7 heures dans un matin
frais et ensoleillé. Sortant de la ville, les flèches jaunes me mènent sur une
charmante piste pas trop droite qui était bordée de petits arbres et de
buissons.
Après deux heures de marche je décidais de faire une
pause et de vérifier un nouvelle fois ma connexion internet. Comme je ne voulais pas que quelqu’un me parle je me faufilais entre les buissons d’où je pouvais voir qui arrivait sans être
vue du sentier. Après un moment Deidre et Pascal sont passés mais pas
Rahel qui pourtant marche d’un bon pas.
La connexion a échoué et j’ai continué mon chemin. Je voyais Deidre et Pascal au loin et j’ai remarqué plus tard qu’ils avaient continué tout droit là où la flèche indiquait de tourner à droite...
Cependant, alors que je refaisais surface après ma
pause déjeuner, je les ai vus assis sur un banc. On s’est ainsi rencontré et
perdus plusieurs fois.
Puis j’ai retrouvé par hasard Rahel ou plus précisément son sac-à-dos contre le mur d’un bar. On a donc pris une boisson ensemble et fait ensemble les trois derniers km vers Astorga.
Avons eu une aventure quand nous avons du traverser un ferme habitée par trois chiens qui aboyaient et dont l’un d’eux était un gros spécimen! Je n’ai généralement pas peur des chiens mais Rahel si! Les Franco-canadiens n’ont pas pris cet itinéraire mais sont passés par la route principale.
J’ai trouvé mon hôtel tout de suite en arrivant à
Astorga mais on a décidé de partager un dernier verre sur la place près du « bâtiment
Gaudi » (palais épiscopal) et de la cathédrale. Et qui voyons nous arriver ?
Paco, le petit espagnol rencontré à La Baneza ; il était suivi peu après de
Pascal et Deidre !
La pluie a commencé à tomber, j’ai ouvert mon
parapluie magique qui nous a donné un abri pendant que Rahel finissait sa
cigarette. Elle les roule elle-même – elle les rempli avec soin et c’est fascinant
à regarder.
C’était son dernier jour sur le chemin. On s’est dit
adieu et je me suis dirigée vers mon luxueux hébergement, ai mangé quelque
chose sorti de mon sac – pas si luxueux que cela en fait !!
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