jeudi 9 septembre 2010

"Colombres - Andrea's and Alison's Departure (Wednesday, 08/09).


"Colombres - Andrea's and Alison's Departure (Wednesday, 08/09).

Weather sunny all day - day of rest for the pilgrim who is in good shape anyway and does not need a special rest.---

Up LATE! That is to say, I woke up as usual; being in a room by myself I had told the girls that it is up to them to let me know when they were getting up. So I just stayed in bed with my coffee until Andrea knocked on my door and joined me in my bed. When Alison's alarm went at 10h we found that she had been awake for some time and was reading! With the train being at 12h02 it was time to start getting up and sorting out their things and pack.

While the girls had their shower I had my breakfast - must eat in the morning, at the latest two hours or so after waking up. Then we went through the things I was taking over - one of my telescopic walking sticks has developed a problem and you can no longer pull it out to its complete length which I need on steep mountain sides. So Andrea gave me hers and I will leave mine at the next albergue for a smaller person to take. Alison gave me her vlies jacket - I had left mine in Ploum when I took up my camino again at the beginning of July - too much to carry around in summer, but now it is getting cold again in the evenings and I will need something warmer than the sweat shirt I am using at the moment.

And so we are going to the little station where the train does not normally stop, but you have to flag it down. Long (the train is 25 minutes late) conversation about family holidays - 'Thank you for this holiday, short, but so emjoyable!' - do I have idealistic ideas about family holidays? But one always has arguments, that is human nature! But I do not want arguments - they spoil things, they spoil, retrospectively, the good time one has had. For me anyway. And there is the train and they are gone!

And I amble back to the hotel - if you can call it ambling when you are walking along a very busy major road concentrating on keeping as close as possible to the grassy verge to keep out of danger.

A bite to eat in my room and a long sieste. Then I worked my way through all my bags and containers, tipping everything out and getting rid of crumbs and bits of this and that. You will be pleased to hear, Marie and Bernard, that the big lump of Savon de Marseille still survives - just! We had this discussion, why take all sorts of different kinds of soap for skin, hair, clothes, etc. And they gave me a lump of Savon de Marseille which is a basic natural soap to be used for everything. In France I stayed in hotels or with people a lot, so did not use it and here there is still a good bit left.

I also shortened Pascal's T-shirt thus making disappear the bleach stains - I left your swimming shorts in Guemes, Pascal! - I compared the two German guidebooks and found, they both have the last bit to Cap Finisterre, so in Oviedo I can send back the one I am using now.

Then late in the afternoon there were French voices to be heard in the hall. When later I was sitting in the bar having a beer they showed up, two elderly gentlemen, Daniel and Yves from St. Etienne, who did the camino frances a year or two ago and are now doing the coastal camino all the way, not the camino primitivo which I want to do. They asked me to go with them for a meal in the restaurant across the road, but I declined - don't like having my evening so late in the day. Heard them coming in as I was drifting into sleep."


****

"Colombres - Andrea's and Alison's Departure (Wednesday, 08/09).


Temps ensoleillé toute la journée -jour de repos pour le pèlerin qui est en pleine forme et n’ a pas besoin de repos !!!
Debout tardivement, cela veut dire que je me suis réveillée comme d’habitude ; ayant ma propre chambre, j’avais dit aux filles que l’heure du lever était à leur choix et qu’elle me préviennent quand elles étaient prêtes. Je suis restée au lit avec mon café jusqu’à ce que Andréa frappe à ma porte et me rejoigne au mit. Quand le réveil d’Alison sonna à 10 : 00 on s’est aperçu qu”elle était réveillée depuis un moment et qu’elle lisait ! Le train étant à 12:01, il était grand temps de se préparer et de trier leurs affaires.
Pendant que les filles prenaient leur douche, j’ai pris mon petit déjeuner - je dois manger le matin - au plus tard dans les deux heures suivant le réveil. On a fait le point sur ce dont je me débarrassais - un de mes batons télescopiques a des problèmes : on ne peut plus le déployer sur toute le longueur dont j’ai besoin sur les sentiers escarpés. Andréa m’a donné le sien et je laisserai le mien à la prochaine auberge, cela dépannera un personne plus petite que moi. Alison m’a donné sa veste polaire - j’ai laissé la mienne à Ploumanac’h lors de mon deuxième départ - trop de choses à porter en été- mais maintenant les soirées sont devenues fraiches et j’ai besoin de quelque chose de plus chaud que mon sweat shirt que j’ai actuellement.
Et nous voila parties vers la petite gare où le train ne fait d’arret que si vous lui faite signe. Une longue  (25 minutes de retard) conversation à propos des vacances en famille. Merci pour ces vacances, courtes mais agréables - Ai je des idées idéalistes sur les vacances en famille ?  Tout le monde a ses arguments, c’est naturel. mais je ne veux pas d’arguments, cela gâche les choses, ils gâchent rétrospectivement le bon temps que l’oon a eu. Pour moi, de toute manière. ...Et voila le train et elles sont parties (photos)
J’ai cheminé vers l’hôtel, si on peut appeler “cheminer” le fait de marcher le long d’une route a grande circulation, en se concentrant  pou rester aussi près que possible sur l’accotement herbeux afin d’éviter le danger.
Un grignotage dans la chambre et une grande sieste. Puis je me suis mise à ranger mes sacs et mes boites, vidant tout et nettoyant les miettes de ceci et de cela. Cela vous fera plaisir, Marie et Bernard, que le gros morceau de savon de Marseille a survécu. On avait parlé du chois des différents produits à emporter pour se laver, laver le linge, les cheveux ...Et ils m’avaient donné un morceau de savon de Marseille qui remplit toutes ces usages. En France, comme j’étais à l’hôtel ou chez des hôtes, je ne lai que peu utilisé et il en reste un bon morceau.
J’ai aussi raccourci le T shirt de Pascal pour faire disparaitre les taches de javel -J’ai laissé ton short de bain à Gemes Pascal ! J’ai comparé mes deux guides allemand et me suis rendue compte qu’il étaient identiques pour la fin du chemin ; je pourrai donc en renvoyer un lors de mon arrivée à Oviedo .
Puis en fin de soirée, j’ai entendu des voix françaises dans le hall. Plus tard, alors que je sirotais une bière au bar (!) ces voix se matérialisèrent sous la forme de deux vieux monsieurs, Daniel et Yves de St Etienne, qui ont fait le “camino frances” il y un an ou deux et qui maintenant font le “camino cotier” tout du long et non pas le “camino primitivo” que je veux faire. Ils m’ont invité à prendre le repas au restaurant avec eux de l’autre coté de la route mais j’ai décliné l’invitation, je n’aime pas trainer tard le soir.
Quand je les ai entendu rentrer, j’étais déjà ensommeillée.




Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire