jeudi 18 juin 2015

Day 18 18 juin 2016



Day 18     Thursday  18 June 2015

Ourense   -  Cea

22km  plus a total of 400m height difference = 26 km effort

5:30h plus 3 stops of 15, 30, and 15 min

Left at 6:30. Beautiful fresh morning, across the Roman bridge with its very high middle arch(?) - why so high? no high sailing boats on the river, not then, not now!

Out of town in a straight line until the Nacional 120 which the camino followed for more than 2km. Somewhere along there was a yellow arrow pointing to a small road going off to the left and also a very faded one pointing straight ahead. I crossed the road to investigate the first one - above the arrow it said ANDA INA (GO INA). As I was just going to go that way, a guardian angel in the shape of a woman in a dressing gown behind a gate across the road shouted "Not that way! This way!" pointing straight ahead.....

Then the camino left the Nacional, went through a village and down to the bottom of the valley and through a narrow tunnel under the railway line. There was a lot of rush hour traffic on this small road with cars coming down the other side having priority for going through the tunnel. I had not noticed the button for pedestrians to stop the traffic - so I waited until there was no car coming and ran through - not easy to run with a pack!

The woman from the bakery who was distributing the bread told me "Two difficult kilometers and then it is easy!" Very hard, those kilometers, but Andrea telephoned half way up -thus I had a first stop standing up.

As I was standing talking, Tobia, Wolfgang and Anna came past - they too had seen ANDA INA and hesitated, "yes, and there is an English speaking gentleman following - he too had been wondering which way to go."

The "English speaking gentleman" began catching up with me as I was reaching the top - "iiina" he shouted as he was approaching - Giuseppe! So we continued together for quite a while.

The camino after that steep climb on the road was very good and varied, plenty of ups - one of them rocky and steep and long -  plenty of downs too, a lot in the shade, cool and beautiful. In one village there was Cesar's bar - a tiny room in an old house on the main street where you could have coffee or beer or wine or grappa with all kinds of mostly "bready" things, slices of bread fried with sugar etc. Nobody passed without stopping. Cesar used to be a long distance lorry driver; and finished driving long distance buses.

The German family whom we had overtaken as they were picniking, showed up too, and then the South Africans as we were leaving. So that was the half hour stop.

Another short stop standing up in a bar for a lemonade. Then I asked  Giuseppe to go ahead because I wanted to slow down. He is booked in a casa rural, but one of the two Italians from Torino  who are a day ahead had sent him an sms recommending a pulparia in the Plaza Mayor, so we will eat there.

The albergue here is amazing - very modern in what must have been one of those dilapidated(spelling?) houses - very well done with lots of glass combining with the old stones! There is one dorm with 20 bunk beds.

I think nobody else will be coming: we are the three Germans, four South Africans, a young Spanish couple and a young Spanish man who arrived by taxi and moves about witb a crutch - when I asked what was.his problem he.showed me some nasty looking varicose veins one one leg.....


Day 18     PS

 The meal in the pulperia was very good. I left Giuseppe sitting on a bench in the main Plaza Mayor waiting for the man of his casa rural to fetch him - it is some 3 km out of Cea, farther along on the camino. So that gets him ahead this morning.

He told me his casa rural is in fact.a whole village which was  dead and falling into ruins. There the owner had restored and created one room and bathroom in each house. So Giuseppe has a house to himself! I have forgotten to ask about joint facilities like a living room etc.

By the way another four men arrived last night, cyclists, Spaniards, to be added to the list I made. The seven Spaniards did cook latish last night, but behaved very quietly. So I have yet to come across a noisy group of Spaniards in an albergue.

Sent from my Sony Xperia U d'Orange










Jour 18
 jeudi 18 Juin 2015

Ourense - Cea

22 km plus un total de 400 m de dénivellée = 26 km d'effort

5: 30h plus 3 arrêts de 15, 30, et 15 min

partie  à 6:30. Belle matinée fraîche, passage sur un  pont romain avec son arche du milieu (pourquoi est elle aussi élevée (?) - aucun voilier sur la rivière, pour le moment !!!

Hors de la ville, en ligne droite jusqu'à ce que la nationale120 suive le camino  pendant plus de deux kilomètres. Quelque part le long il y avait une flèche jaune pointant vers une petite route qui va vers la gauche et aussi une très effacée qui pointait droit devant. Je traversais  la route pour voir  la première - au dessus de la flèche, il est écrit ANDA INA (GO INA). Comme je l'allais juste aller de dans la direction indiquée, un ange gardien sous la forme d'une femme dans une robe de chambre, installée derrière un portail de l'autre coté la route a crié «Pas vers là ! mais tout droit.....

Puis le camino quitté la nationale, a traversé un village et vers le bas de la vallée et à travers un étroit tunnel sous la ligne de chemin de fer. Il y avait beaucoup de trafic aux heures de pointe sur cette petite route avec des voitures qui descendaient de l'autre   côté  pour aller traverser le tunnel. Je ne'avais pas remarqué un  bouton pour les piétons afin d’arrêter la circulation - donc j'ai attendu jusqu'à ce qu'il n'y ait pas de voiture  et ai couru de l'autre coté - pas facile de courir avec un sac à dos!

La femme de la boulangerie qui distribuait le pain m'a dit: «Deux kilomètres difficiles et ensuite c'est  facile!" Très dur, ces kilomètres, mais Andrea téléphoné à mi-chemin -Ainsi je eu un premier arrêt debout.

Comme je parlais, Tobia, Wolfgang et Anna se sont passés - ils avaient aussi vu ANDA INA et hésité, «oui, et il y a un homme parlant anglais qui nous suit et nous a demandé dans quelle direction aller."

Le «gentleman anglophone" a commencé à me rattraper alors que j' atteignais le sommet - "iiina" cria-t-il  en approchant - Giuseppe! Nous avons donc continué ainsi pendant un bon moment.

Le camino après cette montée raide sur la route était très bon et varié, beaucoup de montées- l'une d'eux rocheuse et escarpée et longue - beaucoup de descentes aussi souvent dans l'ombre. Dans un village, il y avait le bar de Cesar - une pièce  minuscule dans une vieille maison sur la rue principale où vous pouviez prendre un café ou une bière ou du vin ou de la grappa avec toutes sortes de tranches de pain frit avec du sucre, etc. Personne n'est  passé sans s'y s'arrêter. Cesar a été employé  comme chauffeur de camion sur des  longues distances; et a terminé en conduisant  des autobus interurbains.

La famille allemande que nous avions dépassé alors qu'ils prenaient leur pique nique est arrivée, et puis les Sud-Africains alors que nous partions. Donc, ce fut un'arrêt d'une demi heure.

Un autre court arrêt debout dans un bar pour une limonade. Puis je demandai Giuseppe aller de l'avant parce que je voulais ralentir. Il a réservé dans une casa rural, et l'un des deux Italiens de Torino qui ont un jour d'vance sur  lui, l'avaient prévenu en envoyant  un sms pour qu'il dine
 dans une pulparia située sur la Plaza Mayor, nous allons donc y manger.

l'auberge  ici est incroyable - très moderne dans ce qui devait être un de ces maisons en ruines - très bien faite avec beaucoup de verre combiné avec les vieilles pierres! Il y a un dortoir avec 20 lits superposés.

Je pense que personne d'autre ne viendra: nous sommes les trois Allemands, quatre Sud-Africains, un jeune couple espagnol et un jeune homme espagnol qui est arrivé en taxi et se déplace avec une béquille - quand je lui demandai ce qu'il avait comme problème il m'a montré des varices (toutes vilaines) sur une de ses jambes.....



PS

Jour 18 PS

 Le repas dans la pulperia était très bon. J'ai laissé Giuseppe assis sur un banc dans la Plaza Mayor, en attendant que l'homme de sa casa rural vienne le chercher - il est à environ 3 km de Cea, plus loin sur le camino. Alors il prendra de l'avance demain.

Il m'a dit que son casa rural est en fait.tout le village qui était abandonné et qui tombait en ruines. Le propriétaire avait restauré et créé une chambre et salle de bains dans chaque maison. Donc, Giuseppe a une maison pour lui! J'ai oublié de poser des questions sur des installations communes comme une salle de séjour, etc.

Par ailleurs quatre autres hommes sont arrivés la nuit dernière, les cyclistes, les Espagnols, pour être ajouté à la liste que j'ai fait . Les sept Espagnols ont fait la cuisine le soir, mais ils se sont comportés très calmement. .




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