The last to leave, as usual (at 8:30h) - "only" 19 km. Will do that easily by the early afternoon! And it WAS very easy - to begin with! Did the first 4 km until A Mesa on the road at a spanking pace. And then it became difficult - several kms uphill, over the top (see photos of the medieval pilgrims' "hospital" with Santa Marina's chapel) and down for miles on a very steep path, first through heath and then through young pine plantations where I stopped for a break after almost 3 hours of walking.
And while I was sitting on the verge of the path munching my apple and thinking I was all alone being the last to leave (had not yet decided on making this my stop pipi as well!) there they started coming - first a French couple: hello, and where are you from; then the Belges came round the bend of this steep serpentine "Ah, look there is Cornelius and ??? (never did find out the name of his wife). So the French couple went on their way while the Belges sat down to chat and there another pilgrim showed up, a man of a certain age - these had all stayed in the private albergue when the other one was full. So the Belges left and I was on my own again to continue all the way down to the barrage de Salime with its abandoned concrete constructions and houses.
http://la-veritable-lumiere.over-blog.com/photo-1772604-IMGP1253_JPG.html
Across the barrage I went and then it was 4 km uphill on the road and another 3 km partly up through the forest. After the first km up from the barrage near a newly opened hotel/restaurant a man was ambling about - we thought we had met before - yes, of course, Jean-Pierre from Bordeaux whom I had met in the kitchen of the Oviedo albergue together with Florence, Birgitt and Larissa the morning of my departure.
Florence and Birgitt were going home and Larissa and Jean-Pierre continued and just now were stopping in this hotel to let the wave of pilgrims go past. So we talked a bit and I went on my way.
I was beginning to feel quite tired - are we very nearly there? - too much uphill - the previous day had been very beautiful but very hard too. So I was extremely glad when finally I came to Grandas de Salime. And there immediately I came across my Belges, Cornelius and his wife. And in the albergue there was the French couple whose daughter had walked with them and several other people I had met during this day....
Day 10 Berducedo -
Grandas de Salime 19 km (+ 14 km)
La dernière à partir, comme toujours (08h30)
La dernière à partir, comme toujours (08h30)
« Seulement » 19
kilomètres à parcourir. Je vais faire cela facilement et arriver en début d’après
midi. Et C’ÉTAIT facile ... au début ! J’ai fait les 4 premiers kilomètres
jusqu’à A MESA sur la route et à vive allure. Et puis c’est devenu difficile –
de nombreux kilomètres en montée jusqu’au sommet (regardez la photo de l’hôpital
des pèlerins de l’époque médiévale avec la chapelle Santa Marina) puis descente
pendant des kilomètres sur un sentier escarpé tout d’abord sous le soleil puis
sous des jeunes plantations de pins où je me suis arrêtée pour faire une pause
après au moins trois heures de marche.
Et, alors que j’étais arrêtée sur le bord
du chemin à mastiquer ma pomme, je pensais que j’etais seule car j’avais été la
dernière à partir (je n’avais pas encore décidé si j’allais aussi faire ma
pause pipi par la même occasion). C’est alors qu’ils commencèrent à arriver :
en premier un couple de français – hello, d’où êtes-vous ? – puis les
belges au détour d’un virage de ce setier sinueux. – Ah regardez, c’est
Cornelius et ??? (je n’ai pas pu retrouver le nom de sa femme) Le couple
de français a continué son chemin alors que les belges se sont assis pour
parler un peu. Et voila un autre pèlerin qui montre le bout de son nez, un
homme d’un certain âge. Tous avaient séjourné dans l’auberge privée car l’autre
était complète. Puis les belges sont partis et je me suis retrouvée à nouveau
seule pour continuer tout la descente vers le barrage de Salime avec ses constructions
et maisons abandonnées, érigées en béton.
J’ai traversé le barrage et me voila partie
pour 4 km de montée sur la route et 3 autres en partie dans la foret. Après le
premier kilomètre depuis le barrage et près d’une hôtel restaurant ouvert
depuis peu, un homme avançait tranquillement. On pensait tous les deux que l’on
s’était déjà rencontrés, mais oui, bien sur, c’était Jean Pierre de Bordeaux.
On s’était croisés dans la cuisine de l’auberge d’Oviedo avec Florence, Birgitt
et Larissa le matin de mon départ.
Florence et Birgitt étaient retournées à la
maison et Larissa et Jean Pierre avaient continué. Ils s’étaient arrêtés dans
cet hôtel pour laisser passer la vague des pèlerins. On a parlé un peu et je
suis repartie.
Je commençais à me sentir fatiguée – est ce
que nous nous près de l’arrivée ici ? – trop de montée. La veille c’était beau
mais dur également. J’étais donc particulièrement heureuse en arrivant à
Grandas de Saline. Et la ; de suite, j’ai croisé mes belges, Cornelius et
sa femme. Et dans l’auberge, il y avait le couple de français dans la fille
avait marché avec eux et beaucoup d’autres gens que j’avais déjà rencontré dans
la journée.
Chapelle Santa Maria Magdalena de Buspol |
Barrage de Salime |
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