Day 4 Thursday 04 June 2015
Zamora - Montamarta
18.5 km mostly flat
4 hours plus 30 min break
Since today is a short etappe I did not leave as early as yesterday. Up at 6am and out at 7 on the dot!
Walking out of town from the Plaza Mayor I took a photograph of the impressive police station - had left my mobile to be recharged when I went on a walkabout after sending my blog contribution. Thus a number of photographs were not taken like the interior of the church San Juan which is unlike anything I have ever seen - outside is amongst yesterday's photos. And in the cathedral there is a statue of Santiago as pilgrim, but no postcard among the postcards for sale in the cathedral.....
Out in a straight line through the usual industrial outskirts of a town and onto a minor road, but very busy with rushhour traffic. My guidebook said that soon I would find - on the right - a path in parallel with, but off the road. For that reason I walked with the traffic. 200m ahead of me there was someone walking against the traffic and as he was walking he was waving with his right hand one of those yellowy fluorescent safety coats (what is "gilet" in English, Rosalind?). Later when he had seen me walking off the road he too left the road to continue on the track.
Today's walk was easy and uneventful. The sky overcast until the sun tried to break through at about 11am, not very successfully. Even so the air began heating up. It was only in the afternoon that it was really sunny again. And hot!!!
The landscape as before, ondulating vast fields with often very broad pebbly tracks cutting through in long straight lines at right angles to each other.
I had been looking foward to having a coffee at the bar of Roales del Pan; but when I saw that the camino did not lead through the center of the village and I would have to make a detour without any certainty of the bar being open, I decided against and continued on my way. Carried enough stuff on my back to eat and drink. Did stop however to ring the hostal which had been recommended to Claire and Philippe and had a room reserved.
So half an hour later when it tried to rain - I found myself a comfortable place in a ditch under a bush to shield me from the rain. And then the rain did not happen apart from the first few drops. The same just now where I am installed in a private hostal - a bit of thunder, a few very thick drops and nothing more.....
Back to my ditch, as I was sitting there munching my sandwich a number of people came past: some cyclists, one solitary pilgrim who - apart from his pack - was carrying a simple cloth bag round his neck down his front, a bit like a buddhist monk. He was closely followed by Claire and Philippe who were surprised to find me there. We talked a while - they had found the albergue municipale quite awful - too many people crammed into small rooms - and generally too much noise. Oh, you telephoned to make a reservation? There are .not so many people on the way, no need to reserve in advance.
And finally there came the Dutch woman whom I have not mentioned before and the Spaniard with the fluo gilet. Don't remember overtaking him - he probably went into the bar in Roales del Pan.
Anyway she had shown up in the hostal in Cubo while we were having our huge meal and we did not see her until yesterday morning as we were leaving very noisily, thinking we were alone, and out she came to ask could we please explain the way out of the village. Good thing too that she showed herself, because we had been told to lock up after ourselves and put the key into the letterbox! So we gave the key and the instructions and walked off......
They were talking animatedly in Spanish when she noticed me in the ditch and he said he had seen me behind him. Later I overtook them as they were having their picnic at the edge of a field.
Coming into Montamarta I was supposed to find the "supermarket" - the hostal would be near there. The albergue municipal had a reputation of being dirty. So Claire and Philippe and Magaly and Bernd plus myself we were all going to put up in the Casa del Tio Bartolo. After wandering about for some time (nobody about in the.streets one might ask), I saw "Alimentacion" and found myself comverging on the same spot with Magaly and Bernd, then a Danish couple and we all piled into the Casa del Tio where Claire and Philippe were already installed - in the last private room - disappointment all around. "But you telephoned, Senora, here is your room!" Halleluja! Private room but not private bathroom! There seem to be four private rooms and the loft is a comfotably large dormitory - no bunk beds, but double bed lined up on either side.
Apart from the people mentioned before there is also a German-Swiss couple and some.Spaniards - you might say Full House! And there are just two bathrooms for all of us!
Off to join the others....
https://www.google.fr/search?q=san+juan+church+zamora&safe=off&rlz=1C1CHVN_frFR594FR594&es_sm=122&source=lnms&tbm=isch&sa=X&ei=P1txVfQQiPVQkpqByAg&ved=0CAgQ_AUoAg&biw=1280&bih=899
Poste de Police |
Plaque d'égout |
Cigognes |
fourmi au travail |
Jour 4 - Jeudi 4 juin 2015
Zamora -Montamarta
18.5 km- Plat pour la plus part du circuit
4 heures et 30 mn d’arret
Comme aujourd’hui l’étape est courte je ne suis pas partie aussi tôt qu’hier. Debout à 6 heures et en route à 7 heures précises.
En sortant de la ville via la Plaza mayor, j’ai, pris une photos de l'impressionnant poste de police - j’avais laissé mon mobile en charge en sortant me balader après avoir envoyé mon texte- C’est la raison pour laquelle je n’ai pu prendre un tas de photos intéressantes comme l'intérieur de l'église de San Juan qui est une chose que je n’ai jamais vue avant - l'extérieur est sur les photos d’hier* Et dans la cathédrale il y a une statue de St Jacques en pèlerin,mais aucune carte postale ne la représente sur le panel de cartes en vente dans l'édifice.
Sortie de la ville en ligne droite via l’habituelle banlieue industrielle en cheminant sur une petite route bien encombrée en cette heure de pointe. Mon guide annonce que bientôt je trouverai sur la droite un sentier parallèle mais en dehors de l’axe de circulation. C’est la raison pour laquelle je marchais dans le sens des voitures . 200 mètres devant moi, il y avait quelqu’un qui marchait à contre sens de la circulation et en marchant il agitait sa main dans laquelle se trouvait un gilet fluo (type obligatoire dans les voitures). Plus tard quand il a remarqué que j’avais trouvé le chemin qui longeait la route, il a traversé et fait comme moi.
Aujourd’hui la marche a été facile et dénuée d’événements particuliers. Le ciel était couvert jusqu’à ce que le soleil face un percée vers 11 heures mais sans grand succès ! Mais il commençait à faire chaud et le soleil n’a gagné la partie que dans l’après midi ! Et la chaleur avec !!!
Le paysage était comme d’habitude, de vastes champs avec souvent des pistes caillouteuses qui le traversait et qui s’entrecroisaient à angle droit avec d’autres pistes identiques.
J’avais hâte de prendre un café au bar de Roales del Pan, mais quand j’ai vu que le chemin ne passait pas par le centre du village et que j’aurai un détour à faire sans être certaine que le bar soit ouvert , j’ai décidé de continuer mon chemin. Je porte assez de chose à manger et à boire sur le dos pour être autonome
J’ai fait cependant une petite pause pour téléphoner à l’hôtel qui avait été recommandé à Claire t Philippe et j’ai réservé une chambre.
Une demi heure plus tard alors que la pluie menaçait et que quelques gouttes tombaient je trouvais un endroit confortable dans un fossé sous un buisson qui m'abritait. La pluie n’a donné que quelques gouttes. La même chose que maintenant ù je suis installée dans l'hôtel privé, un peu de tonnerre, quelques grosses gouttes et rien de plus
Retour à mon fossé (!) et alors que je mastiquait mon sandwich j’ai vu passer de nombreuses personnes : des cyclistes, un pèlerin solitaire qui, en plus de son sac à dos, avait un simple sac en tissus qu’il portait comme les moines bouddhistes autour du cou avec un lanière au tour du front .Il était suivi de près par Philippe et Claire qui étaient surpris de me voir là. On a parlé un moment - ils avaient trouvé hier que l’auberge municipale était horrible, trop de personnes entassées dans de petites chambres et qu’il y avait trop de bruit. Oh, tu as téléphoné pour faire une réservation? Il n’y a pas grand monde sur le chemin, ce n’est pas la peine de réserver.
Enfin, voila la femme originaire des Pays bas dont je n’ai pas parlé avant et l’espagnol avec le gilet fluo. Je ne me souviens pas de l’avoir doublé - il a sûrement fait une pause au bar du village. La hollandaise avait fait une apparition à l’hôtel de Cubo quand nous avions notre mémorable repas et on ne l’avait as vue depuis hier matin quand nous partions de manière peu discrète car on pensait être seuls.Elle est sortie demander si on pouvait lui expliquer comment sortir du village. Heureusement qu’elle s’est montrée car l’aubergiste nous avait demandé de fermer à clef en partant et de mettre la clef dans la boite à lettres !!! On lui a donc remis la clef, indiqué par où partir et on a quitté les lieux..
Ils conversaient de manière animée en espagnol quand ils me remarquèrent dans le fossé et elle me dit qu’elle m’avait vue derrière elle et que je les avait doublés quand ils prenaient le pique nique à l’entrée d’un champ.
En arrivant à Montamarta j’étais supposée trouver le supermarché car l’hôtel était contigu. L’auberge municipale avait la réputation d’être sale. Claire et Philippe, Magaly et Bernd et moi même avions décider d'établir nos quartiers dans la Casa del Tio Bariolo. Après avoir erré dans le village pendant un moment (personne dans les rues pour nous renseigner) J’ai lors vu l’alimentation et toute l'équipe a convergé vers l’hôtel avec en plus un couple de danois. Claire et Philippe étaient déjà installés dans la dernière chambre individuelle. Déception générale ! Mais vous madame, vous avez téléphoné et vous avez une chambre. alléluia ! une chambre pour moi toute seule mais une salle de bains collective. >Il y avait 4 chambres privées et la salle commune était confortable, pas de lits superposés mais des grands lits alignés de part et d’autres du mur.
En dehors des personnes déjà cites il y avait aussi un couple germano suisse et quelques espagnols. maison pleine !!! et seulement deux salles de bains !!!
Je sors rejoindre les autres
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