Day 9 Leon - Cabanillas Sunday, 19/06/2016
18 km + 300m height difference = 21 km
Marvellous sun all day without getting too hot.
This has been a wonderful day apart from the first 7 km out of Leon.
Arriving at the Parador Hostal San Marco where the Camino Frances goes west
across the river Bernesga, the Camino de San Salvador begins, going north along
the river. You have pleasant suburbs to begin with; but gradually there are
more and more faded big posters advertising plots to build houses, apartment
blocks - planned - where you can find the apartment of your dreams, and finally
many such blocks, incomplete, and partly inhabited where no infrastructure has
been set up, no shops, no schools. Then a succession of villages, running into
each other, without any countryside left between them.
And finally the road peters out and becomes a farm track. And then the wide
farm track becomes a narrow track and even a path - very pebbly and therefore
slippery! - going up and down, steeply in quick succession, then
along a ridge - even the ridge going up and down steeply! And then down steeply
from the ridge for a long time until finally the path levels off and becomes
easier to walk - 11 km of what my Spanish guide calls a
"rompepiernas" (break legs) profile.
Took many photographs and was thus overtaken by Luis, a Spaniard from the
Canary Islands who intends to go all the way to La Robla today. However as I
came to where the path had leveled off, there was Luis treating his knees - he
had fallen, watching birds and the landscape rather than watching his feet! I
watch my feet all the time while I am walking and when I want to look around I
stop walking. We walked together for a while and then I sent him off ahead - I
like to keep my own speed.....
This being Sunday there were many cyclists before the path took off up to
the ridge and then again when it flattened.
Coming into Campanillas there was an old man sitting on a bench in front of his
house. I asked for the albergue and perhaps a bar for a nice fresh beer?
No bar! No shop! For the keys to the albergue you go back two houses and
the lady will give them to you. The lady said her husband would be here in a
minute; you can sit on the bench with Leonardo. And Leonardo, meanwhile, had
gone into his house and fetched a lovely cold can of beer for me!
So we sat and talked, joined by the lady of the keys - and when the husband
came he went to the albergue in his big old 4 wheel-drive while I walked.
Campanillas being so close to Leon not many people stay there. The albergue
is an old house completely and very well renovated - possibly the old school.
Through an entrance hall you come into a built-in kitchen past facilities, separate for men and women, and then through a set of large doors which could double the opening to the main room. This gives the impression of a hall - 11 by 6 metres. It has only four beds, two lots of two bunks which fold up against one wall the way you have them in ferries and trains. And there are two tables with eight chairs. Under the roof above the ktichen and the facilities there is a mezzanine where more chairs and things are stored.
Everything considered, I think this is the village hall which serves as
albergue during the season.
I have the place to myself - nobody else came......
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Puis une descente raide depuis la crête pendant un long moment jusqu’à ce que la piste devienne plus facile à utiliser.11 km de ce que mon guide nomme un profil « casse pattes »
J’ai pris de nombreuses photos et ai dont été dépassée par Luis, un espagnol des îles Canaries qui avait l’intention de faire aujourd’hui tout le chemin jusqu’à La Robla. Cependant en arrivant là où le chemin devenait plus plat, il y avait Luis qui soignait son genou : il était tombé en regardant les oiseaux et le paysage au lieu de regarder ses pieds ! Moi, je regarde mes pieds tout le temps que je marche et quand je veux observer autour de moi, je m’arrête. On a marché ensemble un moment et je lui ai ensuite dit d’aller devant car j’aime marcher à mon allure....
Après le hall d’entrée vous arrivez dans une pièce avec cuisine intégrée et des commodités séparées pour les hommes et les femmes puis via un ensemble de larges portes on pouvait doubler la capacité de la pièce ; cela donnait l’impression d’être une grande salle de 11 mètres sur 6. Il n’y avait que quatre lits, de groupes de deux lits superposés repliés contre le mur comme dans les ferries et les trains. Et il y avait deux tables et huit chaises. Au dessus du plafond de la cuisine et des commodités il y avait une mezzanine avec plus de chaises et d’autres choses rangées là. Tout bien considéré je pense que c’est la salle communale qui sert d’auberge pendant la saison.
J’avais l’endroit pour moi toute seule car personne d’autre n’est arrivé..
Jour 9 Léon - Cabanillas Dimanche
19/06/2016
18 km + 300 m de dénivelée - donc 21 km
Soleil merveilleux toute la journée
sans qu’il ne fasse trop chaud.
Cela a été une merveilleuse journée à part la sortie de Leon pendant 7 km.
En arrivant au Parador Hostal San Marco, là où le Camino Frances va vers l’ouest
en traversant la rivière Bernesga, le Camino San Salvador débute, allant vers
le nord le long de la rivière. Pour commencer on traverse un faubourg agréable mais progressivement on trouve des panneaux d’affichage avec de
grandes affiches délavées qui font de la publicité pour des lotissements disponibles
pour bâtir des maisons , des immeubles. Le tout, si on en croit les affiches, sera
un lieu où vous pourrez trouver l’appartement de vos rêves ! Alors qu’au
final, il n’y a que des blocs d’immeubles non terminées et seulement partiellement habités, sans la mise en place d’infrastructures, pas de boutiques, pas d’écoles.
S’en suit une succession de villages presque accolés les uns aux autres
sans aucune campagne entre eux.
Et finalement la route se rétrécit pour se transformer en piste pour
exploitation agricole. Et ensuite cette large piste se transforme en piste plus
étroite et même en sentier, très caillouteux et donc glissant ! Cette
piste montait et descendait de façon abrupte puis descendait fortement puis
continuait le long d’une crête.et même ce chemin de crête montait et descendait
de façon abrupte !
Puis une descente raide depuis la crête pendant un long moment jusqu’à ce que la piste devienne plus facile à utiliser.11 km de ce que mon guide nomme un profil « casse pattes »
J’ai pris de nombreuses photos et ai dont été dépassée par Luis, un espagnol des îles Canaries qui avait l’intention de faire aujourd’hui tout le chemin jusqu’à La Robla. Cependant en arrivant là où le chemin devenait plus plat, il y avait Luis qui soignait son genou : il était tombé en regardant les oiseaux et le paysage au lieu de regarder ses pieds ! Moi, je regarde mes pieds tout le temps que je marche et quand je veux observer autour de moi, je m’arrête. On a marché ensemble un moment et je lui ai ensuite dit d’aller devant car j’aime marcher à mon allure....
Comme on était dimanche il y avait beaucoup de cyclistes avant que le
chemin ne monte vers la crête puis ensuite lorsque c’est redevenu plat.
En arrivant à Cabanillas il y avait un vieil homme assis sur un banc devant sa maison. Je lui ai demandé où se trouvait l’auberge et s’il y avait un bar où
boire une bière fraiche. Pas de bar, pas de magasin. Pour les clés de l’auberge
retournez de deux maisons et la dame vous les donnera. La dame m’a dit que son
mari arriverait dans une minute et que je pouvais m’asseoir sur le banc avec
Léonardo. Et Léonardo pendant ce temps-là était retourné chez lui me chercher une bonne canette de bière fraîche !
On s’est donc assis, on a parlé, rejoints par la dame aux clés et quand son
mari est arrivé il a rejoint l’auberge dans son vieux et gros 4X4 alors que moi
j’y allais en marchant..
Cabanillas était si proche de Léon qu’il n’ya avait jamais grand monde. L’auberge
est une vieille maison entièrement bien rénovée, probablement une ancienne
école.
Après le hall d’entrée vous arrivez dans une pièce avec cuisine intégrée et des commodités séparées pour les hommes et les femmes puis via un ensemble de larges portes on pouvait doubler la capacité de la pièce ; cela donnait l’impression d’être une grande salle de 11 mètres sur 6. Il n’y avait que quatre lits, de groupes de deux lits superposés repliés contre le mur comme dans les ferries et les trains. Et il y avait deux tables et huit chaises. Au dessus du plafond de la cuisine et des commodités il y avait une mezzanine avec plus de chaises et d’autres choses rangées là. Tout bien considéré je pense que c’est la salle communale qui sert d’auberge pendant la saison.
J’avais l’endroit pour moi toute seule car personne d’autre n’est arrivé..
Albergue in Cabanillas
Déja 15 jours !!! Tu en as avalé des kilomètre... Bonne continuation
RépondreSupprimerPMFG
Attention, regarder ses pieds en marchant peut être risqué. S'il y a un panneau devant toi.... boum.... une grosse bosse et les lunettes sont cassées.
RépondreSupprimerBon courage
MFPG