Day 8 Tineo - campelio
Up as usual - coffee in bed for me at 7 am; the girls wake up at 7:30h. No breakfast in this pension - we eat, sitting on our beds, what we bought last night. The room is small even for two beds, let alone three! The owner had suggested two rooms, but we wanted to be together.....
The bathroom too was tiny and with the amount of rain we have had the air was saturated, so none of our clothes had dried. The pleasure of putting on humid clothes......
Well, at least it did not rain, although tha clouds hung menacingly low and were quite black. Until 10 am, when the rain started...,,,
Still, the path was very varied and beautiful, especially if/when you managed to imagine it in the sunshine!
At one point we were sitting on the wall of the wash place of a village (lavoir in French) when an old man came up to us to talk. This was Domingo, 84 in two months' time! As we were talking a young man in a car stopped next to us: "What, Grandad! Three women!" The grandad then suggested walking with us for a while - that lasted a few steps and we pushed on.
In Campiello we were going to stop just for a coffee in the pleasant bar of Herminia which has also a private albergue attached to it. After the coffee break I wanted to go on another 3 km to the albergue at Borres to shorten the following etappe. However before we managed to enter Herminia's bar a man jumped at us from the bar opposite "Don't stop here! Go to the albergue in Borres! You must go to Borres! Not here!" All this in Spanish of course! Later I learned that he was the Borres hospitalero who had a reputation of being drunk. Seeing what a hole Borres is and how Herminia "creams" off a good number of pilgrims it is understandable.
Anyway we were so pleased to be at Herminia's, just at mealtime too, that we called it a day and stayed. Had a substantial meal with the right dose of red wine. Seeing that I was not going any further, that was wonderful. The girls called their taxi and were gone.......
I had a belated siesta and went back to the bar where I found myself sitting at the same table with the Belgian couple who were having their drinks at the counter and complaining about the rain when we first arrived. And just as the bar was closing, a crowd of people arrived - their had been a fete in the neighbourhood and they were continuing here! Until 3 in the morning as I heard later...
Day 8 Tineo – Campelio
Comme toujours café au lit
pour moi à 07H00, les filles se sont réveillées à 07H30. Pas de petit déjeuner
servi dans cette pension, on mange, assis sur les lits, ce que nous avions
acheté la veille au soir. La chambre est petite, même pour deux lits, alors,
imaginez pour trois. Le propriétaire avait suggéré que nous prenions deux
chambres, mais on voulait être ensemble.
La salle de bains aussi était minuscule et
avec toute la pluie que nous avions eu l’air
était saturé d’humidité et aucun de nos vêtements n’avait séché. Quel plaisir
de revêtir des habits humides...
Bien, au moins il ne pleut pas quoi que les
nuages menaçants étaient bas et noirs. Sec jusqu’à 10 heures et la pluie est
revenue.
Pourtant le chemin était très varié et beau
surtout si vous arriviez à l’imaginer sous le soleil !
A un endroit, on s’est assise sur le mur d’un lavoir dans un village. C’est lors qu’un vieil homme est arrivé nous parler. Il s’appelait Domingo, aura 84 ans dans deux mois ! Alors que nous parlions, un jeune homme en voiture s’est arrêté prés de nous « Quoi, Papy, Trois femmes !! » Alors le grand père suggéra de marcher un peu avec nous. Cela a duré quelques pas puis on a continué.
A un endroit, on s’est assise sur le mur d’un lavoir dans un village. C’est lors qu’un vieil homme est arrivé nous parler. Il s’appelait Domingo, aura 84 ans dans deux mois ! Alors que nous parlions, un jeune homme en voiture s’est arrêté prés de nous « Quoi, Papy, Trois femmes !! » Alors le grand père suggéra de marcher un peu avec nous. Cela a duré quelques pas puis on a continué.
A Campelio on s’est arrêtées prendre un
café dans un bar agréable « L’ Herminia » qui disposait également d’une
auberge privée. Après le café j’ai souhaité aller dans une autre auberge située
à trois kilomètres (Borres) pour raccourcir l’étape suivante. Pourtant, avant
que nous n’entrions au Herminia, un homme est venu rapidement vers nous,
sortant du bar d’en face. « Ne vous arrêtez pas ici, Allez à l’auberge de
Borres, pas ici ! » Tout cela en espagnol bien sur. Plus tard nous
avons appris que c’était le propriétaire de l’auberge de Borres et qu’il avait
la réputation d’être souvent ivre.
De toute façon nous étions si bien dans cette auberge que nous avons pris le repas et sommes restés. Un bon repas avec une dose de vin rouge suffisante car j’avais décidé de ne pas aller plus loin.
Les
filles ont pris leur taxi et sont parties...De toute façon nous étions si bien dans cette auberge que nous avons pris le repas et sommes restés. Un bon repas avec une dose de vin rouge suffisante car j’avais décidé de ne pas aller plus loin.
J’ai fait une sieste tardive et suis retournée au bar où je me suis retrouvée à la même table qu’un couple de belges qui, lorsque je suis arrivée la première fois, prenait un verre au bar en se plaignant de la pluie. Et alors que le bar fermait, un grand nombre de personne arriva – ils avaient été à une fête dans le voisinage et allaient la continuer ici. Jusqu’à trois heures du matin, comme j’ai pu le constater...
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire