Day 17 As
Seixas - Melide 14 km
Up early and even out early, and not even the last to
be off! There were mostly Spaniards in this albergue last night, 13 + 1
American and 1 German, I! The American was Lisa to whom I was to give greatings
from the Australians, Regina and Ian - they had first met in an albergue on the
very difficult Camino de San Salvador(?) which crosses over from the Camino
Frances to Oviedo. I do not know this at all, need to find out. Could you have
a look on the internet, Bernard, if you have any energy left after doing the
translation!?!
So the walk today was very easy, mostly asphalt
(tarmac?). A bit of light rain. So before I realised how close I was I had
arrived. 11 o'clock! Am now sitting in
front of the albergue in a queue of abandoned packs. The albergue opens only at
1pm. There were three Poles waiting when I arrived and now we have the queue of
packs you see on the photograph and people are arriving wondering which is the
end of the queue?
Pilgrims are streaming past in groups of two, three or
more - they look at us in amaze- or amusement - because we have already stopped
for the day! Remember, we have now joined the Camino Frances!
And now the owners of the packs are coming back and
all of a sudden there is a commotion - the hospitalera has arrived and is letting
people in.......
There are at least six dorms four of which I have been
able to visit because they are connected - they sleep 30 persons each! And they
are filling up fast! Don't know about the other two dorms.....
Sanitary installations are separate for men and women
- 10 showers in the women's - in separate cabins without doors or curtains
which made the Americans unhappy - and the same number of wash basins; 2 washing
machines and even driers; a beautiful kitchen, but no utensils at all, not one
plate or item of cutlery, or pot or pan, nothing!
I experienced this once on the Camino del Norte in
Vilalba and once before on this camino in Lugo. The problem is that sometimes
you do your shopping on the basis of the information that there is a kitchen without
having checked it out before! Most kitchens in these albergues have a motley(?)
lot of equipment, like left behind by people - now I come to think of it, that
must be what it is: the German guide says this about San Roman - and when I got there it had enough to do some
basic cooking. Some of them have fridge and a cupboard where people leave what
they do not want to carry and before you do your shopping you should have a
look to see what you might take for your meal.
Well, I have had my shower and a sleep and will now go
on a walkabout. If nothing interesting crops up, this will be it until
tomorrow.
Day 17 As
Seixas - Melide 14 km
Debout de bonne heure et même partie de bonne heure,
même pas la dernière à partir ! Il y avait une majorité d’espagnols dans
cette auberge la nuit dernière : 13 et une américaine, un allemand et moi.
L’américaine c’était Lisa à la quelle je devais donner le bonjour des
australiens Régina et Ian car ils s’étaient rencontrés dans une auberge sur le
très difficile chemin de San Salvador lorsqu’il croise le chemin des français à
Oviedo. Je n’ai jamais entendu parler de ce chemin, il faut que je me
renseigne. Peux-tu chercher sur le net, Bernard s’il te reste assez d’énergie
après avoir traduit le texte ? !!
La marche a été très facile aujourd’hui, la plus part
du temps sur du bitume. Un peu de pluie légère. Et voila que, vers 11 heures,
je me suis rendue compte que j’étais presque arrivée.
Je suis maintenant assise en face de l’auberge à la
suite de sacs « abandonnés » L’auberge ouvre seulement à 13 heures.
Il y avait déjà 3 polonais qui attendaient lorsque je suis arrivée et
maintenant vous avez la file de sacs que vous pouvez voir sur la photo et les
gens commencent à arriver en se demandant qui est le dernier de la file.
Les pèlerins passent en continu et en groupe de 2,3 ou
plus ; ils nous regardent étonnés ou amusés car nous avons déjà terminé
notre marche pour la journée...Rappelez
vous, on vient de rejoindre le chemin des français !
Et voila les propriétaires de sacs qui reviennent et c’est
une agitation soudaine. L’hospitalier est arrivé et fait entrer les gens....
Il y a au moins six dortoirs et j’ai pu en visiter
quatre d’entre eux virtuellement sur internet. La capacité est de 30 personnes
pour chacun. Et ils se remplissent vite. Je n’ai pas d’informations sur les
deux autres dortoirs...
Les sanitaires sont séparés, les uns pour les hommes,
les autres pour les femmes. Il y a dix douches chez les femmes – en cabines
séparées sans portes ou rideaux ce qui mécontente les américaines – et le même
nombre de bacs à laver ; deux lave-linge et même des sèche-linge ;
une très belle cuisine mais pas d’ustensiles du tout, pas une assiette ni de
couverts, ni de casserole ou de poêle, rien !
J’ai eu la même expérience sur le chemin du nord à
Vilalba et une fois juste avant sur ce chemin à Lugo. Le problème est que
parfois vous faites vos courses sur la base des informations disant qu’il y a
une cuisine, mais vous n’avez pas pu le verifier. La plus part des cuisines ont
un équipement hétéroclite, comme s’il
avait été oublié par des pèlerins, maintenant je commence à croire que c’est le
cas. Le guide allemand en parle à propos
de San Roman et quand j’y suis arrivée il y avait assez d’ustensiles pour faire
une cuisine basique. Certaines auberges ont des frigos et un placard où les
gens laissent ce qu’ils ne veulent plus porter et avant de faire vos courses c’est
bien de donner un coup d’œil pour voir ce que vous pourriez utiliser pour le
repas.
Bien, j’ai pris ma douche, fais une sieste et vais
aller maintenant faire un petit tour.
Ps.
Il pleut comme « vache qui pisse en Bretagne »
et ma promenade s’est terminée dansa le bar juste en face de l’auberge....
Note de Papy vélo : au Québec on dit « il
pleut à boire debout », c’est plus poétique !!!
La nouvelle auberge et les sacs en ligne |
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